Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal 20Minutes.20minutes.fr/planete/1773911-20160126-malade-pollution-comme-si-plein-petits-couteaux-poitrinehot raconte l’histoire d’une jeune femme de 30 ans, Jessica, qui a été diagnostiquée il y a six ans d’une insuffisance respiratoire , conséquence selon elle de la pollution atmosphérique.
« L’appareil respiratoire d’une femme de 50 ans »
Dans le journal 20Minutes, Jessica explique : « Tout a commencé par un rhume qui ne passait pas, explique-t-elle. C’était au moment où je passais le Capes de philosophie et j’ai mis ça sur le dos du stress. Mais après trois mois sous antibiotiques, je suis allée voir un pneumologue qui m’a dit que j’avais l’appareil respiratoire d’une femme de 50 ans. »
La jeune femme ajoute : « Le pneumologue lui-même m’a dit que ce n’était pas juste le fait d’avoir fumé par le passé qui a provoqué cette insuffisance, mais être dans les particules fines à longueur de journée, pour les asthmatiques, c’est très mauvais. »
Ainsi, l’article souligne que « Jessica avait ce que les médecins appellent un terrain favorable pour développer une insuffisance respiratoire. »
Olivier Blond, président de l’association Respire, constate : « Le lien de causalité entre maladie et pollution atmosphérique est toujours compliqué à mettre en évidence. Une maladie est toujours multifactorielle au niveau individuel mais au niveau collectif, les scientifiques sont unanimes sur l’impact de la pollution sur la santé. »
En outre, « selon les estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pollution est responsable de 3,2 millions de morts prématurées par an dans le monde, dont 42.000 en France. »
La jeune femme ajoute : « Le pneumologue lui-même m’a dit que ce n’était pas juste le fait d’avoir fumé par le passé qui a provoqué cette insuffisance, mais être dans les particules fines à longueur de journée, pour les asthmatiques, c’est très mauvais. »
Ainsi, l’article souligne que « Jessica avait ce que les médecins appellent un terrain favorable pour développer une insuffisance respiratoire. »
Olivier Blond, président de l’association Respire, constate : « Le lien de causalité entre maladie et pollution atmosphérique est toujours compliqué à mettre en évidence. Une maladie est toujours multifactorielle au niveau individuel mais au niveau collectif, les scientifiques sont unanimes sur l’impact de la pollution sur la santé. »
En outre, « selon les estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pollution est responsable de 3,2 millions de morts prématurées par an dans le monde, dont 42.000 en France. »