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Dans un communiqué de presse du Parlement européen, Giovanni La Via, député démocrate-chrétien italien et Président de la délégation, dresse le bilan de cette Conférence.
Une conférence différente de la COP21
Le député a expliqué en quoi la Conférence de Marrakech était-elle différente de la COP21 qui s'est tenue à Paris en décembre 2015 : « La COP21 visait à définir les grands principes permettant de sauver notre planète. La COP22 s'est davantage penchée sur la mise en oeuvre de ces objectifs, afin de transformer les engagements pris en actions concrètes. »
Il ajoute que la thématique la plus importante évoquée au cours de ces deux semaines est « le financement de la lutte contre les changements climatiques était à mon avis un point essentiel. Les pays en développement veulent s'assurer, et ils ont raison, que les fonds nécessaires à l'adaptation au changement climatique seront versés. Ces fonds ne peuvent pas uniquement provenir de l'argent public. »
Il poursuit : « Nous avons souligné l'importance de la confiance. À Marrakech, la délégation du Parlement européen a rappelé que l'Union européenne respectera ses engagements, et cela quoi qu'il arrive. »
Le texte réaffirme la volonté de tous les pays de lutter contre le changement climatique et de soutenir le développement durable. D'ici à 2020, les pays devront présenter leurs engagements à long terme pour l'horizon 2050 afin de mieux faire face au changement climatique.
Les députés voteront au cours des semaines à venir sur une réforme du marché du carbone dans l'Union européenne. Nous allons bientôt débuter notre travail sur la réduction des émissions dans le cadre de la législation sur la répartition de l'effort. Le Parlement doit également se pencher sur une nouvelle proposition législative concernant l'utilisation des terres, leurs changements et la forêt.
Mais où en est l'Union européenne en ce qui concerne ses engagements sur le climat ? « Nous sommes sur la bonne voie pour respecter nos engagements initiaux d'ici à 2030 », assure Giovanni La Via, qui ajoute que « l'Union européenne est également en mesure de dépasser l'objectif pour 2020 qui prévoit une réduction de 20 % des émissions, et souhaite même aller plus loin. »
Il ajoute que la thématique la plus importante évoquée au cours de ces deux semaines est « le financement de la lutte contre les changements climatiques était à mon avis un point essentiel. Les pays en développement veulent s'assurer, et ils ont raison, que les fonds nécessaires à l'adaptation au changement climatique seront versés. Ces fonds ne peuvent pas uniquement provenir de l'argent public. »
Il poursuit : « Nous avons souligné l'importance de la confiance. À Marrakech, la délégation du Parlement européen a rappelé que l'Union européenne respectera ses engagements, et cela quoi qu'il arrive. »
Le texte réaffirme la volonté de tous les pays de lutter contre le changement climatique et de soutenir le développement durable. D'ici à 2020, les pays devront présenter leurs engagements à long terme pour l'horizon 2050 afin de mieux faire face au changement climatique.
Les députés voteront au cours des semaines à venir sur une réforme du marché du carbone dans l'Union européenne. Nous allons bientôt débuter notre travail sur la réduction des émissions dans le cadre de la législation sur la répartition de l'effort. Le Parlement doit également se pencher sur une nouvelle proposition législative concernant l'utilisation des terres, leurs changements et la forêt.
Mais où en est l'Union européenne en ce qui concerne ses engagements sur le climat ? « Nous sommes sur la bonne voie pour respecter nos engagements initiaux d'ici à 2030 », assure Giovanni La Via, qui ajoute que « l'Union européenne est également en mesure de dépasser l'objectif pour 2020 qui prévoit une réduction de 20 % des émissions, et souhaite même aller plus loin. »