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Greenpeace a adressé une lettre ouverte à François Hollande, à quelques jours de la Conférence environnementale de Paris (COP21), « afin qu'il s'oppose à cette opération d'influence qui oblitère les chances d'obtenir un accord responsable à Paris. »
Un communiqué de Greenpeace présente ses souhaits, face à ce qu’elle dénonce comme « les tentatives d'influence des pollueurs industriels, qui essaient de s'introduire dans l' « Agenda de l'action Lima-Paris ».
Un communiqué de Greenpeace présente ses souhaits, face à ce qu’elle dénonce comme « les tentatives d'influence des pollueurs industriels, qui essaient de s'introduire dans l' « Agenda de l'action Lima-Paris ».
« Nous sommes très inquiets »
Greenpeace rappelle d’abord que le Plan d’Action Lima-Paris (LPPA) « doit avoir pour ambition d'accompagner, de refléter et d'amplifier concrètement les solutions existantes et d'avenir, pour la transition énergétique et écologique mondiale et pour un monde plus résilient. »
L’organisation ajoute : « Nous n'accepterons pas que des initiatives qui ne répondent ni à cet impératif, ni aux indications de la science, fassent leur entrée dans cet agenda. »
Le communiqué ajoute : « Nous sommes ainsi très inquiets de la présence d'initiatives portées par TOTAL et d'autres entreprises d'énergies fossiles, ou par l'agriculture industrielle fortement émettrice de gaz à effet de serre. La reconnaissance par le LPAA de ces initiatives enverrait un très mauvais signal à la COP21. »
Car selon Greenpeace, « elle risquerait de porter tort aux solutions vertueuses et aux acteurs alignés sur la science, réunis au sein de cet agenda. Cette reconnaissance freinerait ainsi la mise en oeuvre des vraies et bonnes solutions, bloquant leur déploiement, et ce, avec la caution de l'ONU et du gouvernement français. »
Par conséquent, « il est donc urgent de renforcer les fondations du LPAA, sur la base des principes de la Convention de l'ONU sur le climat et de la science, au risque de voir la société civile le délégitimer avant même son opérationnalisation. »
C’est pourquoi Greenpeace appelle François Hollande « de bien vouloir s'assurer de l'exclusion immédiate du LPAA des initiatives qui ne contribuent pas à réduire notre dépendance aux combustibles fossiles, comme l'initiative sur le torchage (Oil and Gas Methane Partnership), dont font partie TOTAL et d'autres groupes pétroliers et gaziers. »
L’organisation ajoute : « Nous n'accepterons pas que des initiatives qui ne répondent ni à cet impératif, ni aux indications de la science, fassent leur entrée dans cet agenda. »
Le communiqué ajoute : « Nous sommes ainsi très inquiets de la présence d'initiatives portées par TOTAL et d'autres entreprises d'énergies fossiles, ou par l'agriculture industrielle fortement émettrice de gaz à effet de serre. La reconnaissance par le LPAA de ces initiatives enverrait un très mauvais signal à la COP21. »
Car selon Greenpeace, « elle risquerait de porter tort aux solutions vertueuses et aux acteurs alignés sur la science, réunis au sein de cet agenda. Cette reconnaissance freinerait ainsi la mise en oeuvre des vraies et bonnes solutions, bloquant leur déploiement, et ce, avec la caution de l'ONU et du gouvernement français. »
Par conséquent, « il est donc urgent de renforcer les fondations du LPAA, sur la base des principes de la Convention de l'ONU sur le climat et de la science, au risque de voir la société civile le délégitimer avant même son opérationnalisation. »
C’est pourquoi Greenpeace appelle François Hollande « de bien vouloir s'assurer de l'exclusion immédiate du LPAA des initiatives qui ne contribuent pas à réduire notre dépendance aux combustibles fossiles, comme l'initiative sur le torchage (Oil and Gas Methane Partnership), dont font partie TOTAL et d'autres groupes pétroliers et gaziers. »