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Plutôt que de seulement observer la nouvelle règlementation sur la plastique, BNP Paribas a décidé de l’intégrer à son fonctionnement. « La loi française relative à la transition énergétique pour la croissance verte interdit la vente et la distribution des gobelets, verres et assiettes en plastique, au 1er janvier 2020. A l’échelle européenne, la vaisselle, mais aussi les couverts, les tiges pour ballon de baudruche et les Coton-Tige en plastique à usage unique seront bannis d’ici à 2021 » rappelle Le Monde. Le quotidien français montre ainsi que la banque dépasse les exigences en adoptant le même bannissement mais pour ses lieux de travail dans ses soixante-douze pays d’action.
Par un document interne envoyé aux collaborateurs, BNP Paribas a annoncé cette nouvelle ambition. « Non seulement les restaurants d’entreprise et les cafétérias devront être vidés de tous les produits à usage unique contenant du plastique, gobelets comme bouteilles, mais le ménage devra également être fait dans les machines automatiques. « La gamme de produits de snaking contenue dans les distributeurs (ex : barres énergétiques) doit être revue pour proposer exclusivement des produits sans emballage ou éco-emballés », stipule le document. Les salariés sont appelés à utiliser « des mugs », à offrir aux visiteurs extérieurs des gobelets compostables ou biodégradables, à boire l’eau du robinet ou des fontaines – dans les pays où l’eau courante n’est pas potable, l’entreprise se dotera de bonbonnes ou de filtres spécifiques » rapporte Le Monde.
Quand une grande entreprise internationale prend ce type de décisions il faut le saluer. Car même si l’idée est évidement d’améliorer son image, les effets sont importants. Déjà par l’importance du nombre de collaborateurs mais aussi sur les sous-traitants. Dans les soixante-douze pays où la banque est installée, la nouvelle règle recommande de « faire appel aux prestataires qui utilisent et récupèrent les contenants réutilisables ». Un vertueux effet dominos.
Par un document interne envoyé aux collaborateurs, BNP Paribas a annoncé cette nouvelle ambition. « Non seulement les restaurants d’entreprise et les cafétérias devront être vidés de tous les produits à usage unique contenant du plastique, gobelets comme bouteilles, mais le ménage devra également être fait dans les machines automatiques. « La gamme de produits de snaking contenue dans les distributeurs (ex : barres énergétiques) doit être revue pour proposer exclusivement des produits sans emballage ou éco-emballés », stipule le document. Les salariés sont appelés à utiliser « des mugs », à offrir aux visiteurs extérieurs des gobelets compostables ou biodégradables, à boire l’eau du robinet ou des fontaines – dans les pays où l’eau courante n’est pas potable, l’entreprise se dotera de bonbonnes ou de filtres spécifiques » rapporte Le Monde.
Quand une grande entreprise internationale prend ce type de décisions il faut le saluer. Car même si l’idée est évidement d’améliorer son image, les effets sont importants. Déjà par l’importance du nombre de collaborateurs mais aussi sur les sous-traitants. Dans les soixante-douze pays où la banque est installée, la nouvelle règle recommande de « faire appel aux prestataires qui utilisent et récupèrent les contenants réutilisables ». Un vertueux effet dominos.