Source : Pixabay, image libre de droits.
« L'Australie a reconnu jeudi qu'il fallait en faire plus pour protéger la Grande barrière de corail de la pollution après la publication d'un rapport officiel qui brosse un tableau sombre de l'état du site classé au patrimoine mondial de l'humanité », explique un article en ligne du journal Paris Match.
Il ajoute que « le plus grand système corallien du monde est victime des ruissellements agricoles, du développement économique ou de la prolifération des acanthasters, étoiles de mer qui détruisent les coraux. »
Il ajoute que « le plus grand système corallien du monde est victime des ruissellements agricoles, du développement économique ou de la prolifération des acanthasters, étoiles de mer qui détruisent les coraux. »
En faire davantage pour protéger le site
A cause du réchauffement climatique, « une grande partie du récif a perdu ses couleurs et bon nombre des coraux sont morts. »
Pourtant, « Canberra assure qu'il fait beaucoup pour protéger ce site emblématique mais le rapport annuel gouvernemental sur la qualité de l'eau, des herbiers marins et du corail lui a décerné la note "D", ce qui correspond à une "piètre" qualité, pour la cinquième année consécutive. »
L’article de Paris Match précise que « la Grande barrière reçoit des ruissellements émanant de 35 bassins hydrographiques sur une zone plus vaste que le Japon », ajoutant que « les sédiments charriés par les eaux réduisent la luminosité, ce qui affecte l'écosystème corallien et celui des herbiers, portant atteinte à leur croissance et à leurs capacités de reproduction. »
Josh Frydenberg, le ministre de l'Environnement, a reconnu « qu'il fallait en faire davantage pour protéger le site tout en soulignant que des progrès avaient été accomplis grâce au programme Grande Barrière 2050 du gouvernement. »
En outre, « le site de 345.000 km2 a évité de justesse l'année dernière d'être placé par l'Unesco sur sa liste des sites en péril et Canberra oeuvre à un plan de préservation sur 35 ans. »
Le ministre affirme : « Ce rapport montre des résultats positifs mais aussi des zones où nous devons concentrer plus d'efforts. »
Une étude portant sur un an explique que « près de la moitié des terrains horticoles et céréaliers des bassins hydrographiques de la Grande barrière sont déjà soumis à une meilleure gouvernance, il y a plus de travail à faire en ce qui concerne les terres d'élevage et de canne à sucre. »
Lire l’intégralité de l’article de Paris Match ici.
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Pourtant, « Canberra assure qu'il fait beaucoup pour protéger ce site emblématique mais le rapport annuel gouvernemental sur la qualité de l'eau, des herbiers marins et du corail lui a décerné la note "D", ce qui correspond à une "piètre" qualité, pour la cinquième année consécutive. »
L’article de Paris Match précise que « la Grande barrière reçoit des ruissellements émanant de 35 bassins hydrographiques sur une zone plus vaste que le Japon », ajoutant que « les sédiments charriés par les eaux réduisent la luminosité, ce qui affecte l'écosystème corallien et celui des herbiers, portant atteinte à leur croissance et à leurs capacités de reproduction. »
Josh Frydenberg, le ministre de l'Environnement, a reconnu « qu'il fallait en faire davantage pour protéger le site tout en soulignant que des progrès avaient été accomplis grâce au programme Grande Barrière 2050 du gouvernement. »
En outre, « le site de 345.000 km2 a évité de justesse l'année dernière d'être placé par l'Unesco sur sa liste des sites en péril et Canberra oeuvre à un plan de préservation sur 35 ans. »
Le ministre affirme : « Ce rapport montre des résultats positifs mais aussi des zones où nous devons concentrer plus d'efforts. »
Une étude portant sur un an explique que « près de la moitié des terrains horticoles et céréaliers des bassins hydrographiques de la Grande barrière sont déjà soumis à une meilleure gouvernance, il y a plus de travail à faire en ce qui concerne les terres d'élevage et de canne à sucre. »
Lire l’intégralité de l’article de Paris Match ici.
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