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« De plus en plus en vogue, le concept de RSE devient incontournable pour les entreprises qui exportent ou qui travaillent auprès des grands donneurs d'ordres » commence un article publié sur le site du magazine québécois Les Affaires. L’analyse permet de cerner les défis et les avancées de ce domaine dans cette province francophone du Canada, à la pointe sur les questions de recherches et d’analyse du monde des affaires.
La situation est au final assez similaire à celle de la France. Le concept a connu un essor considérable durant les dernières années, et il faut avoir vécu dans une grotte pour ne jamais avoir entendu parler de RSE, de développement durable ou de rôle social de l’entreprise. En revanche, note une universitaire interrogée, « certains voient encore la RSE comme une contrainte, alors qu’il s’agit d’un outil de différenciation et d’une occasion d’innover. »
La situation est au final assez similaire à celle de la France. Le concept a connu un essor considérable durant les dernières années, et il faut avoir vécu dans une grotte pour ne jamais avoir entendu parler de RSE, de développement durable ou de rôle social de l’entreprise. En revanche, note une universitaire interrogée, « certains voient encore la RSE comme une contrainte, alors qu’il s’agit d’un outil de différenciation et d’une occasion d’innover. »
A la recherche d’un mode d’emploi
L’article montre aussi que la nouvelle priorité est de chercher des moyens de traduire dans le domaine opérationnel ces signaux prometteurs. Si les exigences sont bien présentent, les entreprises ont besoin de propositions de modes d’emploi pour réaliser que la RSE n’est pas qu’un vœu pieux ou un argument de communication pour donner une bonne image de l’entreprise. Comme le résume très bien Les Affaires « le défi se pose désormais du côté de l’opérationnalisation de la RSE. » Une affirmation d’autant plus juste que la responsabilité d’une entreprise est un concept tellement large qu’elle est un domaine où chaque entreprise, quel que soit sa taille, peut innover. Les bonnes pratiques ne sont pas un atout concurrentiel comme les autres mais des habitudes ou des façons de faire qui correspondent aux attentes de la société, des consommateurs ou des clients et des salariés.
Lire en intégralité l’analyse sur Les Affaires.com
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