Un article en ligne du journal Le Dépêche explique qu’une « équipe néozélandaise a analysé l’évolution de son impact sur une période de plus de 20 ans », une dynamique qui semble « se poursuivre inexorablement, au point que la pollution atmosphérique fait aujourd’hui partie des principaux facteurs de risque de l’AVC. »
L’équipe du Pr Valery L. Feigin de l’Université technologique d’Auckland « a passé en revue les données de la Global Burden of Disease Study qui évalue tous les ans, les principales causes de mortalité dans le monde. »
Leur objectif était d’estimer « le rapport entre l’AVC et 17 facteurs de risques qui lui sont associés, dans 188 pays. Ils ont constaté que chaque année 15 millions de personnes souffraient d’un AVC, parmi lesquelles 6 millions mouraient et 5 millions conservaient un handicap permanent. »
L’équipe du Pr Valery L. Feigin de l’Université technologique d’Auckland « a passé en revue les données de la Global Burden of Disease Study qui évalue tous les ans, les principales causes de mortalité dans le monde. »
Leur objectif était d’estimer « le rapport entre l’AVC et 17 facteurs de risques qui lui sont associés, dans 188 pays. Ils ont constaté que chaque année 15 millions de personnes souffraient d’un AVC, parmi lesquelles 6 millions mouraient et 5 millions conservaient un handicap permanent. »
Un phénomène qui prend de l’ampleur
Parmi les principaux facteurs de risque déterminés par les auteurs de l’étude, « la pollution environnementale (de l’air extérieur et intérieur) représente à présent une proportion importante. En 2013, elle était responsable à hauteur de 16,9% des AVC dans le monde. »
Ce pourcentage est quasiment le même que celui du tabac, qui est de 20,7%. Ainsi, « entre 1990 et 2013, elle a augmenté de 33% ! Ce constat est d’autant plus prégnant dans les pays en développement. »
Reste qu’à l’échelle individuelle, « la plus sûre manière de réduire la survenue d’AVC est d’éliminer les facteurs de risque évitables et bien connus. Le tabac, une alimentation pauvre en fruits, la sédentarité. »
Lire l’intégralité de l’article de La Dépêche ici.
Ce pourcentage est quasiment le même que celui du tabac, qui est de 20,7%. Ainsi, « entre 1990 et 2013, elle a augmenté de 33% ! Ce constat est d’autant plus prégnant dans les pays en développement. »
Reste qu’à l’échelle individuelle, « la plus sûre manière de réduire la survenue d’AVC est d’éliminer les facteurs de risque évitables et bien connus. Le tabac, une alimentation pauvre en fruits, la sédentarité. »
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