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On se souvient qu’il y a seulement quelques semaines, se procurer des masques tenaient de l’exploit. Que les hôpitaux et médecins lançaient des appels au publics pour les dons – même par poignées – de ces protections. Aujourd’hui la situation s’est inversée, les machines de production ont rattrapé la cadence et nous approchons d’une situation où il y aura plus de masques que de besoins.
« Désormais, les stocks sont garnis, et les vendeurs ne sont plus dans l'urgence pour s'approvisionner. De quasi rare il y a quelques mois, le masque est donc devenu le produit le plus vendu en France ou presque : plusieurs millions sont écoulés chaque jour dans l'Hexagone. Ce masque, qui devient obligatoire en extérieur dans plus de 1 400 communes françaises, devrait donc se vendre à nouveau à un rythme soutenu pendant encore des semaines et des mois » rapporte La Dépêche .
Malgré les annonces plus restrictives, les ruptures de stock semblent beaucoup moins probables. Au contraire même, les prix devraient chuter du fait d’une offre très importante. « Les distributeurs ont pu anticiper. Ils se fournissent de plus en plus et peuvent le faire plus facilement, avec la reprise progressive du commerce maritime. Les masques, dont la Chine est le principal pays fournisseur, peuvent désormais arriver en très grand nombre par bateau, ce qui réduit largement les coûts pour les revendeurs. "On n'est plus obligé de faire voyager des boîtes de Kleenex en première classe", ironise un acheteur d'une grande entreprise française à nos confères du JDD. Il explique que pendant des semaines, l'avion représentait « entre un tiers et la moitié du prix du masque », plafonné par Bercy à 0,95 euro » appuie le quotidien.
Une tendance générale qui est vécue par l’ensemble de la grande distribution. Les grandes enseignes promettent ainsi que les prix vont chuter à la rentrée et que les boites de masques seront beaucoup moins chères.
« Désormais, les stocks sont garnis, et les vendeurs ne sont plus dans l'urgence pour s'approvisionner. De quasi rare il y a quelques mois, le masque est donc devenu le produit le plus vendu en France ou presque : plusieurs millions sont écoulés chaque jour dans l'Hexagone. Ce masque, qui devient obligatoire en extérieur dans plus de 1 400 communes françaises, devrait donc se vendre à nouveau à un rythme soutenu pendant encore des semaines et des mois » rapporte La Dépêche .
Malgré les annonces plus restrictives, les ruptures de stock semblent beaucoup moins probables. Au contraire même, les prix devraient chuter du fait d’une offre très importante. « Les distributeurs ont pu anticiper. Ils se fournissent de plus en plus et peuvent le faire plus facilement, avec la reprise progressive du commerce maritime. Les masques, dont la Chine est le principal pays fournisseur, peuvent désormais arriver en très grand nombre par bateau, ce qui réduit largement les coûts pour les revendeurs. "On n'est plus obligé de faire voyager des boîtes de Kleenex en première classe", ironise un acheteur d'une grande entreprise française à nos confères du JDD. Il explique que pendant des semaines, l'avion représentait « entre un tiers et la moitié du prix du masque », plafonné par Bercy à 0,95 euro » appuie le quotidien.
Une tendance générale qui est vécue par l’ensemble de la grande distribution. Les grandes enseignes promettent ainsi que les prix vont chuter à la rentrée et que les boites de masques seront beaucoup moins chères.
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