Mardi 23 septembre les dirigeants du monde entier ont rendez-vous à New York pour le sommet sur le climat. Ce dernier rendez-vous avant la conférence de Paris fin 2015, doit donner un nouvel élan aux accords internationaux dans la lutte contre le dérèglement climatique.
Pour les militants écologistes, la gouvernance mondiale climatique est une succession de déceptions et de rendez-vous manqués. Encore frustrés par les accords à minima de la conférence de Varsovie, des associations environnementales du monde entier ont décidé de rappeler aux dirigeants l’état d’urgence. Dimanche 21 septembre des manifestations ont été organisées à New York, Londres, Paris, Rio et Melbourne. L’objectif de ces « Marches pour le climat » était de montrer aux chefs d’Etat que les citoyens de tous les pays attendaient des vraies mesures de régulations des émissions de CO2.
Pour les militants écologistes, la gouvernance mondiale climatique est une succession de déceptions et de rendez-vous manqués. Encore frustrés par les accords à minima de la conférence de Varsovie, des associations environnementales du monde entier ont décidé de rappeler aux dirigeants l’état d’urgence. Dimanche 21 septembre des manifestations ont été organisées à New York, Londres, Paris, Rio et Melbourne. L’objectif de ces « Marches pour le climat » était de montrer aux chefs d’Etat que les citoyens de tous les pays attendaient des vraies mesures de régulations des émissions de CO2.
Engagements concrets
Aucun chef d’Etat au monde n’est « contre » le climat. En défilant, les militants ont voulu mettre la pression sur leurs dirigeants pour que des engagements concrets soient pris. A Paris, ils étaient, d’après la police, près de 5 000 à se rassembler dans une ambiance festive. L’une des demandes des marcheurs pour le climat étaient de fixer l’objectif de 100% de renouvelable d’ici à 2050.
« Nous demandons à François Hollande de prendre des engagements dès le sommet du 23 septembre 2014. Le premier, c’est que la France arrête de soutenir les entreprises françaises qui investissent dans le charbon, notamment dans les pays en développement. Une autre demande, c’est que François Hollande annonce la contribution de la France au fonds mondial qui va aider les pays les plus pauvres à faire face aux impacts du changement climatique. Et enfin, nous attendons de François Hollande qu’il s’exprime en faveur des énergies renouvelables, et contre les fausses solutions comme le charbon et le nucléaire » résume Alix Mazounie de Réseau Action Climat.
« Nous demandons à François Hollande de prendre des engagements dès le sommet du 23 septembre 2014. Le premier, c’est que la France arrête de soutenir les entreprises françaises qui investissent dans le charbon, notamment dans les pays en développement. Une autre demande, c’est que François Hollande annonce la contribution de la France au fonds mondial qui va aider les pays les plus pauvres à faire face aux impacts du changement climatique. Et enfin, nous attendons de François Hollande qu’il s’exprime en faveur des énergies renouvelables, et contre les fausses solutions comme le charbon et le nucléaire » résume Alix Mazounie de Réseau Action Climat.