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Les cinq années les plus chaudes enregistrées en France depuis 1900, datent d’après 2011. Et 2020 avec une moyenne de 14°C est l’année la plus chaude. Devant 2018 (13,9°C) et 2014 (13,8°C). Sauf si – contrairement aux prévisions météo – des températures particulièrement froides viennent changer la donne dans les dix prochains jours, c’est une nouvelle démonstration de la tendance au réchauffement. Et son accélération ces dernières années. « Au niveau mondial, 2020 s'annonce comme l'une des trois années les plus chaudes jamais enregistrées derrière 2016 et devant 2019. « Si le climat était stable, on aurait une chance sur 120 de battre les précédents records chaque année. Là, en France comme dans le monde, on voit que tous les deux ou trois ans, on enregistre des moyennes jamais atteintes », remarque le climatologue (Jean-Michel Soubeyroux Météo France ndlr). Si l'on regarde l'année qui vient de s'écouler dans Hexagone, l'hiver dernier a été très doux : il a, en fait, été le plus chaud jamais enregistré. Le mois de février a été celui où le thermomètre a le plus dérogé à ses habitudes. « En avril aussi, il a fait très chaud, on s'en rappelle assez bien : c'était au moment du confinement » » rapporte Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Printemps deuxième plus chaud enregistré, été et automne au-dessus des normales ont participé à ce record. « A ces températures élevées, s'est ajouté, dans certaines régions, un important déficit de pluie. Résultat, les forêts se sont embrasées dans le Sud. On se souvient notamment de l'incendie en plein centre-ville d'Anglet (Landes) en août. Il a plu et même plus que d'habitude sur la façade Atlantique et dans l'Est des Pyrénées, mais sur une large moitié nord-est du pays, après un hiver pluvieux, l'année a été marquée par une sécheresse agricole sévère » appuie le quotidien. Des inquiétudes environnementales qui ont gagné d’autres territoires du pays d’habitudes peu concernés par les alertes incendies, comme les Vosges.
Printemps deuxième plus chaud enregistré, été et automne au-dessus des normales ont participé à ce record. « A ces températures élevées, s'est ajouté, dans certaines régions, un important déficit de pluie. Résultat, les forêts se sont embrasées dans le Sud. On se souvient notamment de l'incendie en plein centre-ville d'Anglet (Landes) en août. Il a plu et même plus que d'habitude sur la façade Atlantique et dans l'Est des Pyrénées, mais sur une large moitié nord-est du pays, après un hiver pluvieux, l'année a été marquée par une sécheresse agricole sévère » appuie le quotidien. Des inquiétudes environnementales qui ont gagné d’autres territoires du pays d’habitudes peu concernés par les alertes incendies, comme les Vosges.