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« Sur l'ensemble de la saison, la température moyennée sur la France a atteint 8°C soit 2,6°C de plus que la normale. Cette valeur place cet hiver 2016 au premier rang des hivers les plus chauds depuis 1900, loin devant l'hiver 1989-1990 (+ 2 °C) et les hivers 2006-2007 et 2013-2014 ex-aequo (+ 1.8 °C) » commence le communiqué de Météo France.
Le mois de décembre 2015 notamment a été particulièrement chaud avec des températures moyennes de 3,9°C au dessus de la normale. Des chiffres qui laissent cependant imaginer que les autres mois ont atteint des moyennes relativement normales : « Ce mois de décembre printanier et aussi exceptionnellement sec a largement contribué à la douceur remarquable de cet hiver ».
Le mois de décembre 2015 notamment a été particulièrement chaud avec des températures moyennes de 3,9°C au dessus de la normale. Des chiffres qui laissent cependant imaginer que les autres mois ont atteint des moyennes relativement normales : « Ce mois de décembre printanier et aussi exceptionnellement sec a largement contribué à la douceur remarquable de cet hiver ».
Peu de neige et peu de gel
« Sur l'ensemble de la saison, les températures maximales ont battu de nombreux records. Les gelées, très tardives, ont été peu fréquentes en plaine, avec souvent deux fois moins de jours de gel que la normale » lit-on plus loin.
Du point de vue des précipitations, après un mois de décembre très sec, janvier et février ont largement rattrapé ce retard avec un excédent de pluviométrie de 10% en moyenne, variant largement selon les zones.
« Cet hiver, les épisodes de neige en plaine ont été rares et peu marqués. Sur les massifs, les chutes de neige en février ont amélioré un enneigement très déficitaire depuis le début de l'hiver. Toutefois, avec la persistance d'une douceur parfois remarquable, l'enneigement n'a retrouvé des valeurs conformes à la saison qu'en altitude, au-dessus de 1400 à 2200 m selon le massif ».
Enfin, l’ensoleillement a été généralement excédentaire avec quelques exceptions notamment en Bretagne. A Paris, les trois premiers mois de l’hiver ont connu 234 heures de soleil, soit 50 heures de plus que la normale.
Du point de vue des précipitations, après un mois de décembre très sec, janvier et février ont largement rattrapé ce retard avec un excédent de pluviométrie de 10% en moyenne, variant largement selon les zones.
« Cet hiver, les épisodes de neige en plaine ont été rares et peu marqués. Sur les massifs, les chutes de neige en février ont amélioré un enneigement très déficitaire depuis le début de l'hiver. Toutefois, avec la persistance d'une douceur parfois remarquable, l'enneigement n'a retrouvé des valeurs conformes à la saison qu'en altitude, au-dessus de 1400 à 2200 m selon le massif ».
Enfin, l’ensoleillement a été généralement excédentaire avec quelques exceptions notamment en Bretagne. A Paris, les trois premiers mois de l’hiver ont connu 234 heures de soleil, soit 50 heures de plus que la normale.