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Deux rapports de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publiés lundi 6 mars estiment que chaque année 1,7 million d’enfant meurent à cause de la détérioration de leur environnement. « Ces documents, respectivement intitulés « Un monde durable en héritage : Atlas de la santé infantile et de l’environnement » et « Ne polluez pas mon avenir ! : l’impact environnemental sur la santé infantile », accusent notre environnement dégradé, voire insalubre, d’être à l’origine du décès de plus d’un enfant de moins de cinq ans sur quatre dans le monde » rapporte le journal Le Monde.
L’OMS estime ainsi par la même occasion que plus d’un quart des 5,9 millions de décès d’enfants de 2015 auraient pu être évités avec des mesures environnementales. L’accès à une eau potable par exemple pourrait permettre de lutter contre la première cause de mortalité. « Au-delà des dangers « traditionnels » – pollution de l’atmosphère, de l’eau, manque de sanitaires ou maladies transmises par vecteur comme le paludisme – identifiés de longue date dans les régions en développement, elle s’attaque aux dangers environnementaux « émergents », de plus en plus préoccupants, liés à l’activité industrielle planétaire tels que l’exposition aux polluants, aux déchets électriques et électroniques, ainsi qu’au changement climatique… » lit-on plus loin.
La présence dans les aliments de produits chimiques issus de modes de productions agricoles très dépendants des pesticides est un de ces aspects émergents : « les produits chimiques issus des pesticides, des matières plastiques ou autres produits manufacturés (arsenic, fluor, plomb, mercure, PBDE, PCB…) se retrouvent inévitablement dans la chaîne alimentaire.
Elle souligne enfin la présence alarmante de perturbateurs endocriniens dans les aliments à cause de la composition de certains emballages : un phénomène lié à la multiplication de troubles hépatiques, thyroïdiens et neuro-développementaux sérieux chez les enfants. »
Des données d’autant plus préoccupantes que la plupart des substances sont liées à l’activité industrielle ou de l’homme et donc évitables.
Lire en intégralité l’article du journal Le Monde
L’OMS estime ainsi par la même occasion que plus d’un quart des 5,9 millions de décès d’enfants de 2015 auraient pu être évités avec des mesures environnementales. L’accès à une eau potable par exemple pourrait permettre de lutter contre la première cause de mortalité. « Au-delà des dangers « traditionnels » – pollution de l’atmosphère, de l’eau, manque de sanitaires ou maladies transmises par vecteur comme le paludisme – identifiés de longue date dans les régions en développement, elle s’attaque aux dangers environnementaux « émergents », de plus en plus préoccupants, liés à l’activité industrielle planétaire tels que l’exposition aux polluants, aux déchets électriques et électroniques, ainsi qu’au changement climatique… » lit-on plus loin.
La présence dans les aliments de produits chimiques issus de modes de productions agricoles très dépendants des pesticides est un de ces aspects émergents : « les produits chimiques issus des pesticides, des matières plastiques ou autres produits manufacturés (arsenic, fluor, plomb, mercure, PBDE, PCB…) se retrouvent inévitablement dans la chaîne alimentaire.
Elle souligne enfin la présence alarmante de perturbateurs endocriniens dans les aliments à cause de la composition de certains emballages : un phénomène lié à la multiplication de troubles hépatiques, thyroïdiens et neuro-développementaux sérieux chez les enfants. »
Des données d’autant plus préoccupantes que la plupart des substances sont liées à l’activité industrielle ou de l’homme et donc évitables.
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