Un article en ligne du site RTL explique ainsi que « les pigeons pourraient nous aider à détecter la pollution de l'air » car « le pigeon arrive à détecter la pollution, tout seul. »
En effet, selon l’article, « on a constaté qu'un pigeon, un jour de pollution, vole plus vite. Plus l'air est pollué, plus le pigeon accélère. »
Ainsi, « des scientifiques, dont un Français du CNRS, ont utilisé les données d'amateurs de courses de pigeons voyageurs. »
En effet, selon l’article, « on a constaté qu'un pigeon, un jour de pollution, vole plus vite. Plus l'air est pollué, plus le pigeon accélère. »
Le pigeon accélère quand l’air est pollué
Selon l‘article, « les scientifiques ont étudié 415 vols de pigeons voyageurs. Au départ, ils voulaient vérifier que les volatiles ralentissaient leur course avec la pollution, comme le fait un marathonien derrière un pot d'échappement qui a moins d'oxygène. En fait, ils ont constaté le contraire. Quand l'air est considéré comme "dangereux pour l'homme", le pigeon passe de 56 kilomètres/heure de moyenne à 68 kilomètres/heure sur une course de 300 kilomètres d'environ cinq heures. »
Pour expliquer cette accélération du pigeon, « deux hypothèses sont évoquées. Soit il sent que la pollution est mauvaise pour lui, et il se dépêche. Soit le pigeon perçoit que ses sens sont altérés ; il se sent plus vulnérable face à ses prédateurs, il a peur et il rentre à la maison plus vite. »
Franck Courchamp, directeur de recherche au CNRS, qui a co-dirigé cette étude, affirme que le pigeon « fait un changement de comportement plus important que ce que nous faisons dans les mêmes conditions. » Il ajoute que « des animaux font tout leur possible pour ne pas rester dans des conditions néfastes pour la santé, alors que l'homme continue à sortir, voire même à faire son footing. »
Lire l'intégralité de l'article sur le site de RTL.
Pour expliquer cette accélération du pigeon, « deux hypothèses sont évoquées. Soit il sent que la pollution est mauvaise pour lui, et il se dépêche. Soit le pigeon perçoit que ses sens sont altérés ; il se sent plus vulnérable face à ses prédateurs, il a peur et il rentre à la maison plus vite. »
Franck Courchamp, directeur de recherche au CNRS, qui a co-dirigé cette étude, affirme que le pigeon « fait un changement de comportement plus important que ce que nous faisons dans les mêmes conditions. » Il ajoute que « des animaux font tout leur possible pour ne pas rester dans des conditions néfastes pour la santé, alors que l'homme continue à sortir, voire même à faire son footing. »
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