Crédit photo : Hans Hillewaert
En 2012, la France organisait son entrée dans la filière éolienne off shore. Un premier appel d’offres avait vu l’attribution de la construction de plus site de production d’énergie au large des côtes bretonnes et normandes. Les fermes éoliennes de Courseulles-sur-Mer, Fécamp, Saint-Nazaire, et Saint-Brieux doivent donc être inaugurées en 2013. Doivent également leur succéder les sites éoliens de Tréport et Noirmoutier, annoncés au printemps 2013.
Tenus à un an d’intervalle, ces appels d’offres partagent, dans leur cahier des charges, un esprit similaire. Il a été imposé aux candidats de concevoir des projets ne portant pas préjudice à l’environnement et aux activités humaines préexistantes, étant à la fois sûrs, porteurs d’emploi et surtout capable d’assurer le faible coût de l’énergie produite. En 2013, le cahier des charges a même incorporé un plafond pour le prix de vente de l’électricité : tout candidat s’estimant incapable de commercialiser le mégawattheure en dessous de 220 euros ne pouvait être retenu.
Ces critères n’ont toutefois pas effrayé la concurrence. L’envergure du chantier a en effet conduit des acteurs de rang internationaux à se positionner. EDF Energie Nouvelle s’est ainsi associée à l’Allemand WPD Offshore et Alstom pour rentrer dans la course. Un autre consortium, formé autour de GDF Suez – EDP Renovaveis et Areva, s’est également constitué. Le groupe français indépendant Nass&Wind est également entré en lice par le biais de sa filiale Offshore en septembre 2013.
Il a été annoncé que le vainqueur serait désigné par le ministère de l’Écologie et de l’Énergie en mars 2014. Pour les sociétés concurrentes, les enjeux sont importants puisque le budget du projet est évalué à 3,5 milliards d’euros étalés sur une période de 7 à 9 ans à partir de fin 2014. Les pouvoirs publics et les partenaires sociaux attendent également beaucoup du projet. La création d’une dizaine de milliers d’emplois est attendue de ce chantier. Par ailleurs, l’éolien offshore s’impose en effet de plus en plus comme une ressource énergétique renouvelable économiquement viable et technologiquement efficace.
Tenus à un an d’intervalle, ces appels d’offres partagent, dans leur cahier des charges, un esprit similaire. Il a été imposé aux candidats de concevoir des projets ne portant pas préjudice à l’environnement et aux activités humaines préexistantes, étant à la fois sûrs, porteurs d’emploi et surtout capable d’assurer le faible coût de l’énergie produite. En 2013, le cahier des charges a même incorporé un plafond pour le prix de vente de l’électricité : tout candidat s’estimant incapable de commercialiser le mégawattheure en dessous de 220 euros ne pouvait être retenu.
Ces critères n’ont toutefois pas effrayé la concurrence. L’envergure du chantier a en effet conduit des acteurs de rang internationaux à se positionner. EDF Energie Nouvelle s’est ainsi associée à l’Allemand WPD Offshore et Alstom pour rentrer dans la course. Un autre consortium, formé autour de GDF Suez – EDP Renovaveis et Areva, s’est également constitué. Le groupe français indépendant Nass&Wind est également entré en lice par le biais de sa filiale Offshore en septembre 2013.
Il a été annoncé que le vainqueur serait désigné par le ministère de l’Écologie et de l’Énergie en mars 2014. Pour les sociétés concurrentes, les enjeux sont importants puisque le budget du projet est évalué à 3,5 milliards d’euros étalés sur une période de 7 à 9 ans à partir de fin 2014. Les pouvoirs publics et les partenaires sociaux attendent également beaucoup du projet. La création d’une dizaine de milliers d’emplois est attendue de ce chantier. Par ailleurs, l’éolien offshore s’impose en effet de plus en plus comme une ressource énergétique renouvelable économiquement viable et technologiquement efficace.