Dans un communiqué, la Fondation France Libertés dénonce le nombre exorbitant de militants tués en 2016 pour avoir voulu protéger l'environnement, selon un rapport de l'organisation Global Witness.
Créée en 1986 par Danielle Mitterrand, la Fondation France Libertés a pour objectif de construire un monde plus juste et plus solidaire. Elle explique ainsi qu'avec 60% des meurtres, l'Amérique latine est la région la plus dangereuse pour ceux qui veulent défendre leurs terres, leurs forêts et leurs rivières face à la "voracité des compagnies minières et pétrolières." Les plus touchés par ces assassinats sont les peuples autochtones, dont sont issues 40% des victimes recensées par l'ONG en 2016. Quant au secteur le plus responsable de ces violations, il s'agit des activités minières et extractives (33 cas), suivi de l'exploitation forestière et de l'industrie agro-alimentaire.
Dans la plupart des cas, l'impunité règne. D'après le rapport de Global Witness, partout dans le monde « de puissants intérêts politiques industriels et criminels s'associent pour marginaliser les défenseurs de l'environnement et les qualifier de terroristes ».
En outre, France Libertés, dans son rapport « Stop aux zones de sacrifices ! Pour des alternatives à notre système prédateur des ressources naturelles », dénonce la criminalisation des mouvements sociaux et des défenseurs de l'environnement.
Nous condamnons fermement ces meurtres qui rappellent tristement qu'il est urgent de protéger les défenseurs des droits humains et de l'environnement dans leurs luttes. France Libertés, disposant du statut consultatif spécial auprès des Nations Unies, dit porter "régulièrement à l'attention du Conseil des droits de l'homme des cas de mobilisation pour le respect du droit à un environnement sain et du droit à l'eau."
Créée en 1986 par Danielle Mitterrand, la Fondation France Libertés a pour objectif de construire un monde plus juste et plus solidaire. Elle explique ainsi qu'avec 60% des meurtres, l'Amérique latine est la région la plus dangereuse pour ceux qui veulent défendre leurs terres, leurs forêts et leurs rivières face à la "voracité des compagnies minières et pétrolières." Les plus touchés par ces assassinats sont les peuples autochtones, dont sont issues 40% des victimes recensées par l'ONG en 2016. Quant au secteur le plus responsable de ces violations, il s'agit des activités minières et extractives (33 cas), suivi de l'exploitation forestière et de l'industrie agro-alimentaire.
Dans la plupart des cas, l'impunité règne. D'après le rapport de Global Witness, partout dans le monde « de puissants intérêts politiques industriels et criminels s'associent pour marginaliser les défenseurs de l'environnement et les qualifier de terroristes ».
En outre, France Libertés, dans son rapport « Stop aux zones de sacrifices ! Pour des alternatives à notre système prédateur des ressources naturelles », dénonce la criminalisation des mouvements sociaux et des défenseurs de l'environnement.
Nous condamnons fermement ces meurtres qui rappellent tristement qu'il est urgent de protéger les défenseurs des droits humains et de l'environnement dans leurs luttes. France Libertés, disposant du statut consultatif spécial auprès des Nations Unies, dit porter "régulièrement à l'attention du Conseil des droits de l'homme des cas de mobilisation pour le respect du droit à un environnement sain et du droit à l'eau."