Source : Pixaay, image libre de droits.
Shenyang et Changchun, en Chine, ont enregistré de phénoménaux pics de pollution atmosphériques.
Un article en ligne du journal Le Monde souligne les dangers que représentent les recors de pollution dans cette zone.
Un article en ligne du journal Le Monde souligne les dangers que représentent les recors de pollution dans cette zone.
Au dessus du plafond recommandé par l’OM
L’article explique qu’ « à Shenyang (plus de 8,6 millions d’habitants) et Changchun (plus de 7,5 millions d’habitants), deux métropoles du nord-est de la Chine, un épais brouillard polluant de couleur grisâtre entravait la visibilité, plongeant les axes routiers dans une quasi-obscurité, selon des images diffusées par les médias locaux. »
En effet, poursuit l’article en ligne, « la densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5) atteignait lundi les 860 microgrammes par mètre cube à Changchun. Elle s’était élevée jusqu’à 1 157 microgrammes par mètre cube à Shenyang dimanche, selon des statistiques des gouvernements locaux. » Il faut savoir que « l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande un plafond moyen de seulement 25 microgrammes par mètre cube durant 24 heures. »
En outre, « ces microparticules sont accusées d’être impliquées dans des centaines de milliers de morts prématurées en Chine, où les épisodes d’« airpocalypse » sont fréquents. »
L’article du Monde poursuit, affirmant que « la municipalité de Shenyang a expliqué, sur un site officiel, que ce « smog » d’une densité extrême était provoqué par le démarrage du système de chauffage de la ville, principalement alimenté au charbon, à l’or ée de l’hiver, ainsi que par la sévère pollution venant des provinces voisines. »
Il ajoute que « les autorités de Changchun, de leur côté, ont engagé une ‘procédure d’urgence’, en enjoignant les établissements scolaires à cesser toute activité à l’extérieur et en appelant les résidents à ne pas sortir de chez eux tout en prenant des ‘mesures de protection pour leur santé’ non précisées. »
Lire l’intégralité de l’article du journal Le Monde ici
En effet, poursuit l’article en ligne, « la densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5) atteignait lundi les 860 microgrammes par mètre cube à Changchun. Elle s’était élevée jusqu’à 1 157 microgrammes par mètre cube à Shenyang dimanche, selon des statistiques des gouvernements locaux. » Il faut savoir que « l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande un plafond moyen de seulement 25 microgrammes par mètre cube durant 24 heures. »
En outre, « ces microparticules sont accusées d’être impliquées dans des centaines de milliers de morts prématurées en Chine, où les épisodes d’« airpocalypse » sont fréquents. »
L’article du Monde poursuit, affirmant que « la municipalité de Shenyang a expliqué, sur un site officiel, que ce « smog » d’une densité extrême était provoqué par le démarrage du système de chauffage de la ville, principalement alimenté au charbon, à l’or ée de l’hiver, ainsi que par la sévère pollution venant des provinces voisines. »
Il ajoute que « les autorités de Changchun, de leur côté, ont engagé une ‘procédure d’urgence’, en enjoignant les établissements scolaires à cesser toute activité à l’extérieur et en appelant les résidents à ne pas sortir de chez eux tout en prenant des ‘mesures de protection pour leur santé’ non précisées. »
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